Découvre Duchesne

Lorsqu'on quitte un établissement scolaire pour un autre, on a toujours peur le premier jour, on ne connait pas les lieux, on ne connait personne ou presque et pour finir on a peur de ne pas êtres apprécier. Aujourd'hui c'était le premier jour d'Élisabeth à Duchesne et comme tout-le-monde, elle éprouvait un certain stress. En plus de changeait d'établissement elle avait changeait de pays, il y avait donc très peu de chance pour qu'elle connaisse quelqu'un. En tout cas quelqu'un qu'elle aurait connu dans ce cycle, mais il y avait des changes pour qu'elle croise des visages qui lui était familier, en tout cas pour ceux dont elle avait déjà eu des souvenirs.

Lisa sortait actuellement de chez elle en descendant les marche qui était devant sa porte, une voiture se trouver un peu plus bas, c'était la sienne. Elle ouvrit alors la portière et monta a l'intérieur, elle posa son sac sur le siège passager et partie en direction de Duchesne. Au final se n'était qu'un établissement de plus, non ? Oui, un établissement qui recevait la plupart des sang-bleu de la grosse pomme et dont les autres élèves venait d'autre famille riche de Manatthan.

Arrivant devant sont nouveaux lycée la jeune femme se dirigea sur le parking pour descendre de la voiture et observer le bâtiment. Ancien et bien qu'elle ne se soit pas renseigné la jeune personne pouvait parier que se bâtiment n'était pas prévu pour accueillir des élève au départ, ce n'était pas sur, mais c'était sa supposition. Était-elle tomber juste ou était-elle complétement a coter de la plaque ? Elle ne pouvait pas le savoir pour le moment et puis, elle avait rendez-vous avec le directeur.

Elle se lança alors avec d'autres élèves vers l'entrer du bâtiment, par contre elle mit quelques minutes avant de trouver sa direction, heureusement pour elle, le secrétariat était bien indiquer pour le moment. Elle était donc a l'heure puisque lorsque la sonnerie retentit elle était devant la porte. Une demi-heure plus tard elle sortait du bureau avec un emplois du temps et tout ce qu'elle avait besoin pour vivre dans se lycée. Il ne lui restait plus qu'a se rendre a son cour.

Plus facile a dire qu'a faire, elle n'avait pas de plan et ne savait pas ou se trouver la salle, c'est en cherchent qu'elle croisa un de ses camarades. Avant que cette personne ai quitter le couloir, Élisa se retourna et le suivit.

Excuse-moi, j'ai besoin d'un coup de main.

Une fois qu'elle fut arriver a sa hauteur, elle continua

Je suis nouvelle et je ne trouve pas la salle pour l'art appliquer, tu pourrais m'aidait s'il-te-plait ?

Elle sourit, espérant que l'inconnue ne le prenne pas mal. En attendent une réponse, elle espéré une seconde choses, qu'elle ne se trouvait pas devant la-dite salle, elle aurait l'air un peu bête.

[Hj: J'espère que ça conviendra. Par contre BonPatron marcher pas donc je corrigerait la grammaire et la conjugaison Samedi, c'est promit.]

Lisa était donc en train de chercher ça classe de cour désespérément lorsqu'elle vie une jeune femme regarder cette fameuse étudiante qui traversa le couloir. Après l'avoir abordé et présenter la situation et lui demanda si elle pouvait la dirigeait. Dans une premier temps elle ne s'attendait pas a ce qu'elle la conduise, mais c'est ce qui fit "l'inconnue". Pendant que sa camarade lui disait de la suivre, elle l'observa quelques temps, l'élève avait de long cheveux blond et avait un corps plutôt élancée, elle devait faire partie des plus belle fille du lycée.

La jeune blonde se présenta alors, Marianne, c'était jolie, la première chose qui lui vient a la pensé était que c'était le prénom de la "fiancé" de robin de bois, mais ça lui rappela aussi son pays, l'un de ses symboles était la Marianne, ce buste de femme qui porte le bonnet phrygien. Mais revenons notre rencontre.

Enchanté, moi c'est Élisabeth, mais je préfère Lisa.

C'était bien vrais, elle adorait son prénom, mais le trouver trop long trop cérémonieux, alors elle se présenter directement sous le nom de Lisa, sauf dans les établissement scolaire. Il fallait dire que c'était une des endroit ou les nouvelles aller vite alors lorsqu'une nouvelle élève arriver cela se savait assez vite donc autant passé le message des le début.

Elles commencèrent a circulait doucement dans les couloirs lorsqu'une idée vient a la jeune sang-bleu. On venait de lui donnait un règlement -qu'elle n'avait pas encore lue et qu'elle ne voulait pas vraiment lire-, de lui présenter les réussite exemplaire et le travail qu'il demandait a chaque élève. Mais elle ne savait pas de tout comment on y vivait, elle pouvait profiter de cette marche pour avoir l'avis de la jeune femme.

Alors comment est la vie a Duchesne ?

Elle lui sourit tout en se demandent pourquoi cette rencontre ne pourrait pas se transformer en une légère amitié, elle n'en savait rien, seul l'avenir le dirait et pour le voir il fallait vivre. Elle sourit une nouvelle fois a cette pensé et continua de suivre la jeune blonde tout en l'écoutant répondre.

[Hj: Aïe, aïe, aïe, c'est pas génial, je suis désoler]

Nous marchions dans les corridors vides de Duschene, c'était tout à la fois étrange et facile, personne n'avait l'air de s'en préocuper. Même que je passais devant ma classe d'histoire sans que mon prof en réagisse. Bon allons, il faut s'y faire !

-Si tu veux, je peux bien t'aider à t'adapter. Tout n'est pas simple et facile, surtout avec les gens cruels que tu rencontreras sans doute. Je lui tapottai l'épaule comme par pitié par deux ou trois tappes. Non tu ne te trompes pas, auparavant, Duschene était un manoir et ensuite il a appartenu à une des servantes qui elle en a fait une école.

Je ne savais pas si je me trompai, mais c'est bien ce qu'on m'avait raconté au départ. Peut-être bien que cela était tout faut, comme beaucoup de gens aiment faire des blagues idiotes. Satanée d'école ! Nous étions presque arriver et pourtant, je ne voulais pas que cela finisse, étrange. Les escaliers étroits montant dans le grenier étaient juste devant nous.

-Voilà, après ses marches, tu verras une porte et là sera ton cours d'art appliqué. Bonne journée.

Avant même qu'elle réponde, je tournai les talons pour me diriger vers l'histoire. Je me tournai et la vis de dos que pendant quelques secondes. Puis je détournai mon regard et continuai mon chemin. Arrivée à la porte de mon local, je cognai et quelques minutes plus tard -une éternité même- quelqu'un vint m'ouvrir me demandant ce que je fichais là.

Je lui répondis tout bonnement que quelqu'un d'autre avait besoin de moi et mon proffesseur ne se formalisa pas. Je m'assis tout au fond cette fois, réfléchissant gravement et dormant sur mon pupitre. Dans ma classe, tout le monde était plouque pour moi. Je n'aimais pas beaucoup les gens de mon lycée, mis à part cette petite nouvelle qui avait l'air tendrement inoffensive.

Après des milliers d'explications et des milliers de dessins, le cours allait bientôt se terminer. Un peu d'histoire sur la colonie de Plymouth disparue et de centaines de gens ayant fait les actions pour que New-York soit ce qu'il est aujourd'hui. Mon coude sur le pupitre et mon visage dans la paume de ma main, je n'attendais plus que la cloche retentisse. Je pensais tout à coup à Élisabeth, comment allait-elle ? S'en sortait-elle bien ? Sans doute. J'avais envie d'une grosse pomme et comme je n'avais pas manger ce matin, mon ventre faisait sa symphonie habituelle.

Enfin, le bruit que j'attendais avec impatience apparut, mais avant même que je puisse me glisser avec tout le monde vers la salle de dégagement, le prof m'interpella. Je roulai les yeux, sachant déjà ce qu'il allait me demander. Mon estomac fit encore des siennes et grogna un coup.

-Mademoiselle Lefèvre, pourriez-vous bien me dire pourquoi vous étiez en retard ?

Je ne répondis pas un moment. C'est vrai pourquoi étais-je arriver en retard, mais il le savait bien, il m'avait vu avec quelqu'un traversant le couloir principal et me dirigeant vers une autre classe, ce n'était bien pas parce que je voulais sécher.

-Une nouvelle élève. lui dis-je sur un ton qui annonçait mon mécontentement.

Je partis de ce pas, le laissant réfléchir à ma faim. Je marchais d'un pas rapide jusqu'à la cafétériat et arriver dans la grande salle, mes cartables encore en mains, je pris une pomme comme déjeuner. En me retournant, je vis qu'Élisabeth était assise à une table au fond. Je m'y ruai comme un petit chien perdu retrouvant son maître. En posant mes livres sur la table je lui dis:

« Et puis, ton premier cours ? »

Je remarquai que dans son assiette, le menu n'était pas varié. C'était encore le spaghetti du lundi habituel. Je ne savais pas si elle allait vraiment aimer le lycée de Duschene et je ne comprenais pas plus pourquoi celui-ci était autant populaire par les riches investisseurs et commerçants de New-York. Moi, Mariane Lefèvre, avais certaines difficultés à comprendre pourquoi j'étais dans ce lycée, étant française, j'aurais au moins pu être dans un lycée à moitié français.

-Et toi, tu ne t'es pas fait pénaliser pour ton retard ?

Je ris un instant, elle avait l'air de déjà s'inquièter pour moi, moi qui n'étais même pas son amie et qui l'avait rencontré il n'y a que cela quelques heures, même voir moin.

-Ne t'inquiètes pas pour moi, souris-je. Savais-tu qu'à Duschene, on pouvait au moin sécher les cours deux fois par année, le personnel croit que nous avons parfois besoin de temps et de repos après les examens, pendant ou même avant.

Ce n'était pas la première fois que je voyais une nouvelle à l'école. Je trouvais même bizarre que chez elle, Élisabeth n'aie même pas envie d'aller voir à la table des "populaires". Peut-être les avait-elle inviter à venir manger avec eux et qu'elle aie refusé.

Des spaghettis, c'était ce qui se trouver dans l'assiette de Lisa et c'est ce qu'elle regardait avec interrogation avant que la voix de Marianne se manifeste. Pour le prix qu'elle avait payer, il n'y avait pas grand chose dans son assiette. Bon, je sais ce que vous vous dites, elle vient d'une famille riche et elle n'a pas besoin de regardait aux dépenses, elle a tout ce qu'elle veut si elle demander a ses "parents". Sauf que la jeune fille avait conscience qu'un jour tout pouvait s'écrouler. Et puis, il fallait dire qu'en France elle payer un peu moins cher, mais avait des quantité normal, pas comme si elle était a la diet'.

C'est a cette instant qu'elle entendit la voix de Marianne se manifester près d'elle. Lisa en profita pour demander sa camarade ne c'était pas fait pénaliser pour le retard qu'elle lui avait causer. Cette dernière lui répondait de ne pas s'inquiéter et lui demanda si elle savait qu'il était possible de sécher deux jours dans l'année scolaire dans se grand lycée. Lisa sourit, oh oui elle était au courant, elle avait même crue que la directrice se moquer d'elle lorsqu'elle lui avait dit, mais c'était très sérieux, elle n'avait jamais vue ça et elle pensait qu'aucun lycée français ne pratiquer se genre de chose.

Oui, la directrice me la dit tout a l'aire. Je croyez qu'elle faisait de l'humour, j'ai été dans les meilleurs écoles française, je n'ai jamais vue ça. Les américains sont bien étrange. Elle lui sourit Ne le prend pas contre toi.

Française ? Marianne était française, Lisa sourit, elle était contente de croiser quelqu'un qui avait les mêmes origines qu'elle, pas que les américain était étrange, mais elle devait avouer qu'ils n'avaient pas les même habitude ou coutume qu'elle. L'éducation était aussi différente ainsi que les référence et la culture et bien qu'elle voulait s'habituer au mieux dans se nouveau pays, elle serait contente de pouvoir partagé quelques ressentit.

T'es vraiment française ? C'est super, je suis contente de trouver quelqu'un avec des racines identiques aux miennes, au moins un petit peu.

Elle lui sourit, puis elle fit un tour de regard de la cafétéria, il y avait de plus en plus de monde qui regardait dans sa direction, le message de la nouvelle avait été beaucoup plus vite qu'elle ne l'avait pensé. Tout le monde avait déjà l'air au courant, c'était fascinant en quelques sortes. Elle revient alors sur la jeune fille qui était installer avec elle a table.

Les nouvelles on l'air de circulait vite ici, je m'y attendait, mais pas aussi vite. Elle lui sourit et regarda une nouvelle fois autour d'elle. Quelqu'un se balade avec un panneau pour être sur que tout le monde soit au courant ? Elle sourit de nouveau Je rigole, mais quand même, c'est rapide.

[HPR: Attention Marianne, merci de retirer le [/list] de ton rp]

Blue Bloods a écrit:

Ω Ne pas mettre de {list} dans vos RP. Cela n'est pas spécialement beau et surtout totalement inutile... Il vous sera de toute façon demandé de le retirer. Il en va bien sûr de même pour les {blockquote}.

Hors Jeu:

C'est vrai que les nouvelles du Duschene parcourait vite mais aussi New-York. À cette pensée, ma gorge se serra, je ne sais pas pourquoi je tenais tant à coeur la cause qu'Élisabeth ne sache rien sur l'histoire de la mort d'Aggie, morte vidée. Même si elle savait ou non, elle ne quitterait pas N-Y de si tôt ? Je crois que cela m'inquiètais que parce que moi et elle nous entendions bien ensemble. Il y avait longtemps que je n'avais pas parler ainsi à quelqu'un.

-Oui, eh bien à New-York, comme à Duschene tout ce sait. dis-je d'un sourire presque sarcastique.

Comme la fois où Pete Hawkings avait vomi sur Jemmylyn Smith et qu'il s'était presque fait l'amour en pleine toilette ! C'était tout à fait dégoutant et je ne savait pas pourquoi cela m'attristais pour elle. Je me souvenais parfaitement du bal de deuxième que Sara Sheridan avait organisé et où les flics s'étaient pointés, la pauvre fille avait pleurer pendant des heures.

Tout ça m'avait l'air passionnant, mais revenons à nos moutons. Élisabeth venant d'arriver, il était peut-être temps que j'envisage de ne pas trop m'accrocher à elle, tout pouvait se passer en moins de deux jours et c'est pourquoi je ne voulais pas trop m'attacher, au cas où elle s'en irait bien vite.

[HPR: Attention même remarque que pour Marianne!]

Blue Bloods a écrit:

Ω Ne pas mettre de {list} dans vos RP. Cela n'est pas spécialement beau et surtout totalement inutile... Il vous sera de toute façon demandé de le retirer. Il en va bien sûr de même pour les {blockquote}.

Marianne répondit en affirmation la jeune Lisa par une seule petite phrase : "Oui, eh bien à New-York, comme à Duschene tout ce sait.". Ce n'était pas une grand phrase, mais elle annoncer encore une changement au qu'elle la française devrait s'adapter, elle savait bien évidemment que les journaliste américain avez beaucoup plus de liberté que les français, qu'ils le savait et l'utilisé. Cela faisait d'eux des charognard et toute personne puissante, ayant de l'argent ou du succès pouvait devenir facilement leur proie. Il était donc logique que si vous étiez dans une de ses catégorie, vous devez devenir méfiant et sur vos garde pour éviter qu'un mauvais article vous face dégringoler. C'était les États-Unis.

Oui, j'imagine assez bien Elle sourit de nouveau, puis regarda une nouvelle fois autour d'elle, certain regard se détacher un peu d'elle, d'autre rester ou s'ajouter, elle se demanderait quant se serait finit. Devrait-elle attendre qu'une autre nouvelle arrive ? Elle espérer que non ou si c'était oui, que celle-ci arrive le plus vite possible dans l'établissement, disons se soir ou demain. Elle ne supportera pas très longtemps d'être regarder de partout. Puis, il lui revient a la pensez qu'elle était un sang bleu et qu'elle serait encore dans l'attention de tous lorsqu'elle serait a l'une des réunions qui était organiser pour les jeune "vampire", mais bon c'était la vie. Elle reporta une nouvelle fois son regard sur la jeune femme qui était avec elle a la table. Si je veux m'adapter de mon mieux, il doit y avoir des événement que je doit certainement avoir la connaissance. Qu'es qui c'est passé de très important dernièrement ? Elle sourit, même si on fond d'elle, elle en avait un peu rien a foutre des ragot, sauf si c'était quelques choses de vraiment grave.

-Non, mais ! C'est pas des blagues à faire Maggie ! criais-je.

Je n'aimais pas trop les surprises, mais bon elle savait que tôt ou tard j'allais lui pardonner. Je mangeais mon lunch que j'avais emener à la table quand j'avais été voir Élisabeth et le dégustai. Je n'aimais pas trop cette journée, pleine de pluie, de tristesse et de mémoire. Cependant quelque chose l'attisais, la façon dont Élisabeth se comportait était des plus étranges. Elle avait l'air si, différente.

Peut-être cachait-elle un terrible secret elle aussi, ou encore me faisais-je des idées encore une fois. Cela m'arrivait souvent ces temps-ci et c'était étrange, comme si j'hallucinais des choses. J'avais fait des rêves sur des vampires et sur les jumeaux Force ! C'était tout à fait à jeter les jetons.

Je vis bien que ma bonne remarqua ma perte dans mes pensées et sur ce, elle s'en alla. Où, je ne le savais point. Je n'avais pas la moindre idée de combien de temps je pouvais passer à rêvasser, sur ma mère, sur mes souvenirs et sur les rêves tourmentés que je fais. On dirait que je sentais la venue de quelque chose .. c'était effrayant.

Après avoir manger, je retournai à l'école et en moins de deux, j'y était. Je me dirigeais vers la bibliothèque , quoi de mieux à faire sur l'heure du midi ? Les examens approchaient à grand pas et je ne savais plus quoi faire avec mon cerveau, il fallait que je fasse quelque chose.