Owen O'Maley [Fini]

© a*	Nom : O'Maley Prénom : Owen Kei Regal Âge : 41 years-old Sexe : Male Race : Sang-Rouge

Ce que je montre :

Ye won’t get a good look at me if it ain’t pleasing my dear self. I’m kind of an unknown Caucasian male with nothing more than a bloody Irish accent - and not the good kind, the dreadful kind… Ye won’t even be able to tell what has got you off of the ground before I start hitting the air as a goddamn’ falcon. Indeed the better catch you can take is the gravy flavor of a bad brand of cherry floating between two hit and run of mine.

Les hommes aujourd’hui ne sont plus des Hommes. Se sont des produits vendus à la chaîne par des chaînes de télévisions débiles aux gimmicks usés et à la morale branlante. Je me tire un peu du lot, d’une manière qui me rend tout sauf charmant. La plupart de mes vêtements sont fait de cuir. Pas le genre noir SM que le skaï imite terriblement dans les fêtes fashion… Non, je parle du cuir ancien, celui qui est fait à l’ancienne et particulièrement mal, presque du cuir "bio". D’ailleurs on peut dire rien qu’en me voyant que je ne connais pas vraiment le principe de la saponification. Pour moi les bains ne sont pas une activité quotidienne et ça amène d’ailleurs la plupart des gens à s’écarter de mon chemin. Bien entendu les jeunes me regardent en riant, mais c’est parce qu’ils pensent que je suis un attardé… Ce que je ne suis pas. Bien entendu je renie votre société comme il se doit, mais c’est un signe de santé mentale. Là où bien entendu vous pourriez être amené à me contredire c’est en apprenant qu’au deçà de ces peaux qui me servent de vêtements, je laisse des armes à porter de main.

Je fais près de 6 pieds 5 pouces pour un peu plus de 17 stones. Je porte les cheveux courts, bruns et j'ai les yeux marrons avec quelques tâches de vert sombre. J'ai une colonne vertébrale en bonne santé mais me tiens rarement droit. On remarque facilement que mes dents ne sont pas en particulièrement bonne santé et que certaines cicatrices viennent de plaies anciennement infectées. Ma peau est sale, tout comme mes ongles qui sont un peu trop longs.

Ce que je suis :

Je suis quelqu’un de décidé, ce qui fait de moi une plus grande menace que la plupart des bipèdes qui parcourent cette Terre. Vous ne pouvez pas vraiment vous appuyer sur les outils habituels pour me faire reculer. L’argent, je n’en ai pas l’utilité, le système occidental n’est pas fait pour lutter contre les gens comme moi. Il faudrait me retirer des droits élémentaires pour avoir sur moi assez d’emprise pour m’empêcher d’agir. Ma famille ? Chaque membre préfèrerait trancher sa propre gorge plutôt que d’être employé contre l’un de ses pairs. Pourquoi personne ne défère à la règle ? Simplement parce qu’elle est inculquée depuis l’enfance et sans que jamais l’un des vôtres ne puisse rien y faire. Tout simplement parce qu’aucun de vous n’a jamais eu la chance de pouvoir nous enseigner votre manière de vivre totalement dégénérée. Nous sommes les seuls vrais êtres humains restant sur Terre, vous n’êtes tous que des objets qui méritent la beine que vous avez créée.

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Ce que fut ma vie :

Je suis né loin d’ici, de l’autre côté de l’océan, là où les gens parlent ma langue, la votre et où certains connaissent encore les valeurs de mes ancêtres. Ces valeurs qu’on m’a inculqué depuis toujours, celles qui font celui que je suis, un Homme et non un produit comme vous. J’ai vécu auprès des femmes jusqu’à l’âge de huit ans, se fut une période douce où le sucre et les siestes abondaient. Puis, comme le veut la tradition, je partis avec les hommes pour apprendre à me battre. La lutte, puis les lames, puis le lancer, les collets, la chasse. On m’apprit tout ce qu’il fallait savoir pour survivre au milieu de la nature sans que celle-ci ne fût assez puissante pour subvenir à nos besoins. On me fit haïr la poudre et l’électricité, le gaz et l’essence. On m’apprit à tanner les peaux à l’ancienne méthode, on me montra comment affronter un homme et comment vaincre un animal. On me désigna les moyens de vivre et de tuer, les deux se complétant parfaitement pour faire de moi ni plus ni moins qu’un homme. J’atteignis l’âge adulte en combattant l’un de mes cousins et en recevant mes premières cicatrices lors du rite de passage qui me donna accès au savoir oral de mes ancêtres. J’appris les légendes des géants que la ruse faisait choir et des malins que le courage mettait en fuite. On me montra mille façons d’élever un chien et six ou sept manières de tuer un ours. J’appris les plantes et leurs dons, les animaux et leurs cris, les minerais et leur façonnement et les horreurs que font les hommes hors de nos territoires. Et c’est lorsque ces hommes polluèrent notre eau et firent fuir notre gibier que je décidais de quitter l’endroit pour retrouver le propriétaire de l’entreprise responsable de tout ceci. Mais je ne m’attendais pas à ce que ce voyage me rende à ce point fou que la seule vue des votre me poussa à tuer de rage. Finalement, je trouvais un des endroits où vous éduquer vos jeunes, un vieil endroit désaffecté où je trouvais un toit, votre ville m’ayant privé de forêt ou de gibier… J’y sommeillé bien souvent le jour, pour pouvoir la nuit récupérer de quoi subvenir à mes besoins.

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Faites vos preuves !

La peau déchirée s’ouvre vers les cieux. La bête éviscérée git par terre. Son cœur et son foie semble vouloir s’échapper de sa cage thoracique défoncée, la chair arrachée de ses os manquent comme si une bête sauvage l’en avait privé. Mais aucune bête ne pourrait faire ça sans laisser de marques de dents… Mes doigts experts on extirpait ce qui était le plus sûr à manger cru. Le foie et la cervelle demandent généralement de la cuisson au contraire de la langue ou des reins. Je savais ce genre de chose car c’était celles qu’on m’avait apprises en même temps que la chasse. La fourrure du raton laveur était marquée par le même rouge sombre que mon menton. Je sentais le sang séché emprisonnait peu à peu les fins poils de ma peau imberbe, tirant de manière traditionnelle sur mon épiderme. Mes yeux quant à eux fixaient le regard incrédule d’un homme. Un de ces produits, rempli de graisse et qui écrasait de sa main droite un hamburger tout aussi gras alors qu’il tentait d’user de son poids pour se débarrasser de moi. Mais mon mètre quatre-vingt quinze et mes cent dix kilos de muscles eurent raison de lui. Je sentis l’os de sa gorge se brisait sous mon pouce alors que je regardais ses yeux peu à peu se vider de vie. Cet imbécile avait tenté de passer à côté de moi avec sa nourriture préfabriquée à la main alors que je devais dépecer un nuisible plutôt que de goûter à la viande d’un gibier à cause de la ville où il habitait. Comment avait-il pu être aussi stupide ? On n’avance pas sur le territoire d’un prédateur, d’autant plus lorsqu’on le prive d’une véritable proie et qu’on l’empêche de vivre selon ses habitudes. Ne troublez pas le repos d’un carnivore… Jamais. Sans quoi il risque de devenir fou et de tuer par seule envie et non plus par nécessité.

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Et vous ?

Célébrité choisie : Earl Murray

Votre âge : 21 ans
Votre expérience en RP : Suffisante ?

Où ou comment avez-vous connu le forum ? : Pub-RPG-Design
Et sinon, dans le règlement, y'avait quoi ? :

Citation :

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