Bliss Llewellyn Sang~Bleu
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Messages : 15 Date d'inscription : 24/02/2011 Age : 33 Âge du personnage : 15 ans Localisation : Manhattan
| Sujet: Bliss Llewellyn Jeu 24 Fév - 9:47 | |
| Le personnage © Crédit Avatar | Nom :Llewellyn Prénom : Bliss Âge : 15 ans Sexe : Féminin Race : Sang-Bleu Nom Angélique : Azazel
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~~~~ Milieu Social :Assez riche puisque son père est sénateur de Manhattan Métier/Activité : lycéenne au lycée Duchesne.
~~~~ Ce que je montre :
Pour ce qui est de son apparence première, elle n’est pas extraordinaire. Elle ne possède pas trois bras ou bien deux têtes. Mais douce et délicate, l’image de la jeune femme caresse les yeux des hommes d’un geste savoureux. Du marbre, elle empreinte la couleur pâle de sa peau, accompagnée d’une chevelure flamboyante tombant en une cascade ondulée au creux de ses reins.
Le premier détail de son visage qui interpelle est sans équivoque son regard. Aussi doux qu’ensorcelant, l’intérieur d’un clair irréel laisse transparaître des éclats dorés. Et par leur beauté, ils parlent, pétillent comme des étoiles et offrent à leur interlocuteur la savoureuse impression d’être le roi du monde. Rieur, son regard met le monde à ses pieds. Chacun se courbant devant elle. La force de Bliss se renferme en lui. Elle parle à travers lui, il est la porte de son âme, de son cœur. L’adolescente ne cause pas à tout va, mais qu’est ce que ses yeux sont bavards si on les écoute bien !
Son visage, quand à lui n’échappe pas à la règle. Belle comme la Lune, elle rendrait jaloux le soleil tant sa beauté éblouit. Ses traits fins s’habillent parfaitement avec ses lèvres raffinées, et son nez, discret et délicat ferait pâlir la magnifique Aphrodite. Quoi demander de plus lorsque sa physionomie rendrait verte d’envie la belle Blanche-Neige? Ses cheveux de couleur feu tombant en cascade dans son dos, ses formes corporelles parfaitement dessinées, et cette sensualité de mouvement seraient des atouts propices à la jeune femme si elle décidait un jour de devenir une femme fatale...Mais elle demeure pourtant sensible et introvertie-un côté mystérieux qui, en fait, lui procure un attrait de plus…
Pour ce qui est de ses gouts vestimentaires, Bliss est fière de ses origines texanes. Ainsi, elle porte la plupart du temps un foulard couleur café autour du cou, et un chapeau de cowboys, appartenant auparavant à sa mère défunte. Pour ce qui est du reste, l’adolescente arbore un style simple : jean, haut ajusté à son corps souvent en col V, et des bottes à talon voire des tennis, et le tout accompagné d’une veste longue marron.
Ce que je suis :
Avant même son déménagement, Bliss était une adolescente ouverte, qui aimait les autres et croyait en eux. Demeurant cependant peu sûre d’elle, elle tentait de dissimuler cette faiblesse par une pointe de fantaisie. Bavarde comme pas deux, elle aimait papoter avec ses amies, raconter quelques potins, et puis discuter de chose et d'autre. Ce qui lui valut certains avertissements de la part de ses professeurs...
Son déménagement l’a tout de même déboussolée. Bliss s’était faite à sa vie au Texas. Pis encore, elle l’aimait. Elle aimait cette région, cette vie qu’elle menait là bas. Ses amis… Et malgré la disparition de sa mère qui, et même si elle était petite, l’avait marquée au plus profond d’elle-même, elle ne voulait pas quitter l’endroit où elle était née. Et le fait que son père soit nommé Sénateur à Manhattan avait tout chamboulé. Dès lors, Bliss avait perdu tous ses repères et se retrouvait livrée à elle-même dans une ville dont elle ignorait tout. Ce qui l’avait rendue fragile. Elle qui n’était pas du genre à s’affirmer, elle est devenue influençable. Certainement pour ne pas décevoir les autres, ou simplement pour être acceptée par eux. En tout cas, elle a appris à s’effacer, ce qui, de son point de vue, était loin d’être une qualité.
A côté de cela, Bliss est une adolescente agréable à regarder. Non pas seulement parce qu’elle est belle, mais parce qu’elle représente la joie de vivre. La jeune fille possède un côté taquin, rieur qui sait détendre l’atmosphère lorsque le temps est à l’orage. Elle plaisante de tout, s’esclaffant bien souvent pour un rien. Mais ce rien est toute sa particularité. Elle aime rire aux éclats, à en avoir mal au ventre. Les yeux brillant de malice, la belle rousse est vivante, et plus que joyeuse. Et pourtant Dieu seul sait combien elle a pu souffrir de l’absence de sa mère. Forte, malgré les apparences, elle sait encaisser, et ça, grâce à son côté optimiste qui ne voulait voir que le bon côté des choses. Elle n’était pas stupide, loin de là, mais Bliss était une jeune femme qui partait du principe que le meilleur reste à venir. Ce qui lui a permis d’endurer sans jamais craquer.
Ainsi, d’un calme presque énervant, elle parvient presque à chaque fois à dominer ses pulsions et préfère relativiser plutôt que de céder à la panique. Cependant, Bliss possède tout de même des limites. Et lorsque celles-ci sont franchies, il n’est pas vraiment conseillé de traîner dans les parages. Car derrière son côté fragile se cache une toute autre facette qui pourrait bien en surprendre plus d'un. Très observatrice en prime, il est déconseillé de lui faire des coups bas, car elle saura bien vous les rendre. Délicate, altruiste ? Oui. Mais pas trop. Elle est vulnérable mais pas stupide. Et rêveuse à ses heures perdues…décidément cette fille est bien compliquée…
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Ce que fut ma vie :
ILa vie possède un humour bien particulier, et ce n’est rien de le dire. Ha je ne vais pas me plaindre, ma vie aurait pu largement être pire. Après tout, je ne suis pas la progéniture d’une femme droguée, je n’ai pas été battue par mes parents, ou pire encore. Je suis née de l’amour entre mon père, Forsyth Llewellyn et ma mère, Charlotte Potter. Et j’ai été aimée. Je le sais. Le hic ? Malgré tout cet attachement qui nous liait tous les trois, le destin a décidé de m’enlever ma mère.Du coup, je n’ai pas de souvenir de ma mère, mise à part les quelques photos que garde jalousement mon père. Mais je sais que lui ne l’a pas oubliée. Et je me souviens à travers lui. Il m’arrive encore quelques fois aujourd’hui de lui demander comment elle était. Si je lui ressemble, quel était son parfum…la couleur de ses yeux. Juste pour m’assurer qu’il ne l’a néglige pas. Ha bien sûr, il a très vite trouvé une autre femme. Vantarde, égoïste et égocentrique…tout ce que j’aime. Elle a tenté durant un petit moment de remplacer ma véritable mère. Mais BobiAnne a très vite déchanté et s’est faite une raison. Elle ne serait jamais Charlotte. Et elle ne prendra jamais sa place dans mon cœur. Je sais que cette phrase fait cliché, mais c’est comme ça que je vois les choses. J’avais beau être une gamine à cette époque, je n’étais pas stupide. Et puis, on n’achète pas l’affection d’un enfant. Nous sommes bien trop innocents pour faire passer les cadeaux avant l’amour. Ou en tout cas je me plais à le croire. Toutefois, mon père aimait cette femme, et je ne pus aller contre. J’étais trop jeune pour lui dire le fond de mes pensées. Ainsi, un enfant est né de leur union. Jordan…J’ai eu du mal à l’accepter, considérant sa naissance comme une trahison envers Charlotte. Mais le temps porta ses fruits, et nous sommes parvenues à devenir proches. Ho elle se mêle souvent de ce qui ne la regarde pas mais bon…c’est ma petite sœur tout de même.
Ainsi se passa mon enfance. Sans ma mère, mais avec tout l’amour qu’un père puisse donner à sa fille. Pour le reste, ça ne se passa pas si mal. Mon passage à l’adolescence ne s’est pas soldé par une crise de rébellion, ou par une poussée violente de boutons. Pour tout avouer, je n’étais pas trop mauvaise en cours. Pom-pom-girl, les gens aimaient être en ma compagnie, et ça me plaisait pas mal. J‘étais la petite Texane que tout le monde s’arrachait. Et ca n’allait pas plus loin que ça. Cette vie là me suffisait. Aucune question ne venait m’embrouiller l’esprit mise à part celles concernant la prochaine chorégraphie des cheerleaders. J’avais un tas d’amis, enfin, c’était ce que je pensais. Jusqu’à ce que mon père nous annonce notre déménagement. Ce jour-là, tout mon petit monde s’est écroulé. Comme si ma vie était un château de carte et que, sans crier gare, mon père avait soufflé dessus. Et pourquoi ? Pour qu’il devienne sénateur de New York. Rien que ça… Et vous croyez que mes anciens amis m’ont donné des nouvelles depuis ? Vous vous fourrez les doigts dans l’œil. Ils m’ont oubliée aussi vite que je ne suis partie…
On a donc pris nos clics et nos clacs, pour nous rendre à Manhattan. La ville de tous les vices. Mais après tout, mon père semblait plus qu’heureux d’y vivre. Avant même que l’on acquiesce, il ne cessait de s’imaginer habiter une belle maison, travailler dans un grand bureau, la ville à ses pieds. Je ne pouvais que le soutenir.
Voila comment je me suis retrouvée inscrite au lycée Duchesne. Le couac ? C’est un lycée ultra chic réservé à la jeunesse dorée de Manhattan. Alors, je vous laisse imaginer mon appréhension. Moi avec mon chapeau de cowboy et mes bottes dans le style santiag…au milieu des paillettes et des fards. Le décalage total. Ha, il n’y a pas mieux pour se sentir dévisager. Mais je m’en moque. Je suis fière de mes origines texanes et ce ne sont pas ces petits snobinards qui me feront changer d’avis. D’ailleurs, il me semblait, au début, que Madeleine Force, dite Mimi, s’est intéressée à moi de part mon étrangeté. Entre mon accent et mes habitudes…Je me trompai royalement. Et oui, comment peut –on être si naïve ? Depuis quand une pimbêche aux allures de princesse se met-elle à faire la charité en prenant une pauvre fille perdue sous son aile ? Une seule raison. Elle a trouvé en moi la personne qui pouvait faire ressortir sa « beauté ». Mais je ne suis pas stupide. Pas au point d’être aveugle. Cependant, j’ai mis du temps à ouvrir les yeux. La miss était la fille la plus populaire du lycée, et, la plus garce, en prime. Ha je ne dis pas qu’elle était méchante. Enfin, pas avec moi en tout cas. Elle me respectait, je la respectais. On se considérait même comme des amies. Mais voila, son côté autoritaire m’agaçait de plus en plus. Je n’ignore pas être une adolescente assez timide et surtout influençable. Je sais rarement dire non. Mais plus le temps passe, et plus ses airs supérieurs me lassent. Et puis… quoi de plus pathétique qu’une pom-pom-girl socialement inadaptée ? Mes problèmes auraient dû se limiter à ma garde robe et à ma manucure. Au lieu de cela, je me sentais décalée, je ne trouvais pas ma place. Il m’a donc été naturel de me trouver attirée vers le seul garçon que Mimi haïssait. Dylan…Je l’avais déjà aperçu, au lycée. Sans y prêter grande attention. Mais le soir où nous nous étions rendues au Bank, je lui ai enfin parlé. De tout et de rien. De ma vie, de la sienne…et là…mon cœur s’est emballé. Nous n’étions pas des amis. Et les jours suivants nous nous sommes ignorés. Mais les choses n’arrivent jamais par hasard n’est ce pas ? Trouverez-vous bizarre si je vous dis que le soir où nous nous sommes parlés, une de mes amies est morte ?
Cette nuit-là a changé la vie de certains lycéens de Duchesne. Aggie était décédée, d’une overdose, d’après les autorités, Dylan m’aurait embrassée devant une antiquité égyptienne, des choses étranges ont commencé à m’arriver, et je me suis liée d’amitié avec Théodora et Oliver. Avouez que la vie peut être étrange. Et à cette époque, je ne savais pas à quel point cette idée pouvait être vraie. Et oui, quelques jours après seulement, ma vie prit un tournant imprévu. Déjà que mon esprit me faisait des tours avec ces sortes de flash-back, je me suis surprise à désirer de la viande crue comme jamais auparavant. Pour certains, ce désir peut paraître normal, mais pour une fille comme moi qui raffole de steak bien cuit, je peux vous assurer que c'était vraiment très bizarre! J'ai bien cru devenir folle! Je ne contrôlais plus rien, me demandant si au final, il ne serait pas mieux qu'on m'enferme. Mais un lundi soir, j'ai été conviée à une réunion très spéciale, et là...tout s'est enfin éclairci. On nous a expliqué que nous étions des vampires, ou plutôt des vam-pyre. Des sans-bleu. Oui, je sais, ça semble fou, mais si vous aviez comme moi des espèces de mini canines qui poussaient dans votre mâchoire, vous ne feriez pas les fines bouches! Alors je ne vous raconte pas mon soulagement! De l'extérieur, ça semble certainement irréel, carrément dingue. Et je comprends. Si je ne l'avais pas vécu personnellement, je me serais demander ce qu'ils avaient bien pu prendre comme drogue. Mais tout est réel. Tout! Sauf l'histoire des pieux et du soleil hein. Ça ce n'est que légende pour rassurer les sangs rouges. Fin voila. Je suis une sang-bleu, et franchement, je suis soulagée de savoir que je ne suis pas folle. Vraiment. C'est un poids qui s'est envolé d'un coup. Et je crois en avoir même pleuré...
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Faites vos preuves ! Assise en tailleur sur les tuiles de sa maison, Bliss leva les yeux au ciel. Ce dernier, plongé dans les ténèbres, était rempli d’étoiles, semblables à de minuscules diamants. Et la lune, était un camaïeu de gris et d’argent. En ville, on avait tendance à oublier combien la nuit pouvait être noire, les étoiles abondantes et la lune éblouissante. Merci la pollution.
Pourtant, ce soir-là, rien ne pouvait gâcher ce spectacle. Si ce n’était ses pensées. Bliss ne cessait de se remémorer ce soir-là où tout avait changé. Aggie était morte, assassinée. Et Dylan, le garçon pour qui son cœur pouvait s’arrêter de battre à tout moment, était accusé du meurtre. C’était bien sa veine. Faisant basculer sa tête en arrière tout en soupirant, l’adolescente finit par frapper du poing contre le toit. Lorsque la malchance vous colle aux basques, il était difficile de s’en dépêtrer. Et pour elle, c’était une habituée. Mais Bliss avait beau tourner l’histoire dans sa tête, des éléments ne collaient pas. Et puis…elle avait du mal à imaginer Dylan en assassin. Non pas parce qu’elle ressentait des sentiments pour lui, mais plutôt parce qu’il n’avait pas le profil. Mais bon, elle avait le chic pour se tromper sur les personnes (Mimi par exemple…quoi que, elle ne pouvait se tromper puisque cette dernière était une garce en direct). Alors pourquoi pas lui ?
La jeune femme laissa échapper un souffle d’exaspération. Cela ne pouvait plus durer ou elle en perdrait la raison. Le décès d’une de ses amies, l’accusation de celui qu’elle aimait, l’aveu sur sa véritable identité…Elle les accumulait. Mais heureusement que Théodora et Oliver étaient présents auprès d’elle. Eux au moins la comprenaient sans la juger. Comment avait-elle pu considérer Mimi comme une de ses meilleures amies ? Elle n’avait jamais été à l’aise avec elle. Elle ne se sentait pas à sa place. Avec ses deux nouveaux amis, la donne était différente. Et avec Dylan…C’était encore mieux.
Ah, cette histoire aura raison de ses cheveux. Elle en viendra à les arracher un par un si celle-ci continuait. Et pour parvenir à les garder intacts encore un petit moment, Bliss agrippa son blackberry et composa le numéro de la Van Allen.
« Hey Théo, j’ai besoin de toi » « Qu’est ce qui t’arrive ? » « Si je reste toute seule chez moi, je sens que je vais devenir folle. Est-ce que tu peux passer ? » « Toute seule ? » « Avec qui tu veux. Mais, ramène toi. S’il te plait. »
La rouquine eut à peine le temps de ranger son téléphone, de remonter dans sa chambre, puis de descendre dans le salon avant d’entendre toquer à sa porte. Théodora était du genre rapide. Mais telle ne fut pas sa surprise lorsque son amie entra accompagnée de…la seule personne qu’elle ne voulait pas voir aujourd’hui.
« Ho…salut Dylan… »
La soirée promettait d’être longue…
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Et vous ?
Célébrité choisie : Rachel Hurd Wood
Votre prénom : Alice Votre âge : 20 ans Votre expérience en RP : Je me suis mise à traîner sur ce genre de forum il y a environ 4 ans à présent.
Où ou comment avez-vous connu le forum ? : Ben en fait…je joue sur Charmed-Chaos...et du coup, en regardant par curiosité les sites des membres, je suis tombée sur celui-là. Et il m'a bien plu. Et sinon, dans le règlement, y'avait quoi ? : - Citation :
- OK by BB.
Dernière édition par Bliss. Llewellyn le Ven 11 Mar - 6:29, édité 7 fois | |
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