Des pluies importantes sont attendues dans la nuit de dimanche à lundi.
Il arrive, parfois, que des tsunamis ravagent les côtes tropicales, lors de la saison des moussons. Voilà que commençait celle à Bora Bora. Oh, le mauvais temps, tout le monde le savait, ne durerait pas bien longtemps, une semaine, maximum. Mais les dégâts, eux, prendrait plus de temps a être arrangé.
La mer était si agitée, que les bateaux avaient interdictions de quitter le port. Mais bien sûr, personne ne pouvait contrôler ceux qui étaient en plein large.
Les habitants rangeaient rapidement leur table de jardin, leur parasol, leur barbecue, etc. Certains, ceux les plus proche des côtes, baricadèrent même leurs portes et fenêtres. Ils préparaient leur nécessaire de nettoyage, surelevé les meubles. L'inondation n'était jamais bien loin lors des pluies dilluviennes.
Une quarantaine de détenus de prison ont été transféré de leur prison française pour une île non habitée dans les tropiques. Une île méconnue où ces prisonniers jugés comme très dangereux n'avaient aucune chance de s'échapper.
Lors du tsunamis, les passagers ressentirent de très grandes secousses. Certains s'attendaient déjà à mourir, à se libérer de leur chaîne par la mort. D'autres se repentaient et se souvenaient des leçons de religion qu'ils avaient suivis en étant jeunes. C'étaient ces personnes là qui regrettaient leurs actes, leurs meurtres, leur délinquance.
Finalement, leur bateau s'échoua en un grand fracas sur une des plus belles plages de Bora Bora. Les détenus s'enfuirent et les corps des gardiens de prison et des conducteurs gisaient sur la coque du bateau dan sne mare de sang...
Ceci est un secret qui risque de finir en bain de sang...
Parce que tous les ex-détenus ne se repentiront pas et ne recommenceront pas leur vie.