À Manhattan ou à Rio, en Balenciaga ou en Prada. |
| | Le Grand Seth *out* | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Le Grand Seth *out* Ven 28 Mai - 10:04 | |
| LE PERSONNAGE Dangerous_Smile | Nom : LOGAN Prénom : Seth Samuel Âge : 17 ans Sexe : masculin Race : Sang-Rouge
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~~~~ Milieu Social : Pleins aux as Métier/Activité : Lycéen et c'est pas cool ==" ~~~~ Description Physique : Grand, mince, athlétique. Voilà les premiers mots qui ressortent lorsque l’on voit Seth. Il n’est pas spécialement beau. En fait, il a un physique assez banal. Brun aux yeux gris-verts. Il a généralement les cheveux courts, les laissant pousser lors d’une très grosse contrariété, ce qui lui arrive très rarement. Il est grand, 1m85, et mince. Il ne mange pas beaucoup et n’est pas gourmand. Athlétique car il fait beaucoup de sport. Lorsqu'il n'est pas au lycée, il est sur un terrain de handball. Son sport préféré auquel il joue depuis l'âge de huit ans. Il ne s’habille que de jean et de chemise. Il ne met que des baskets à scratch, c’est bien plus rapide à mettre et à enlever et au moins, il n’a pas le problème du lacet défait. En réalité, c'est parce qu'il ne sait pas les faire mais ça, il ne l'avouera jamais. Personnalité, caractère, défauts, qualités... : Seth n'est pas du genre à être sympathique. Il est du style à dire ce qu'il pense comme cela vient, sans tact et si cela ne plait pas? Il s'en fiche. Loyal envers ses amis, ils en prend soin. Seth est quelqu'un qui n'a pas froid aux yeux, il adore aller à l'aventure juste pour montrer qu'il est courageux. Un peu prétentieux, on a tendance à le trouver trop fier et trop sûr de lui, pourtant il peu un être un véritable agneaux lorsque l'on s'attarde au-delà de l'apparence. Travailleur, il n'aime pourtant pas aller au lycée, ayant l'impression d'y perdre son temps. Lorsque l'on va plus loin dans le personnage, on se rend compte qu'en réalité, c'est quelqu'un de très généreux et d'adorable qui fait passer ses mais et sa famille avant lui. Depuis quelques mois, il est amoureux. Amoureux transit. La seule qui a su le rendre fidèle, bien qu'ils ne soient pas encore ensembles. Depuis qu'il n'a d'yeux que pour elle, il se désintéresse des autres filles. ~~~~~~~~~~~~
ET VOUS Célébrité choisie :
Votre prénom : Lily Votre âge : 26 ans Votre expérience en RP : 2 ans de forum RP...
Où ou comment avez-vous connu le forum ? : Tout pareil qu'avant Et sinon, dans le règlement, y'avait quoi ? : - Citation :
- OK by BB
Dernière édition par Seth S. Logan le Lun 31 Mai - 7:29, édité 5 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Ven 28 Mai - 10:05 | |
| ~~~~ Histoire : Je suis né, il parait, le 17 mai 1993. Vingt ans pile, après ma mère. C’est drôle non ? En réalité, il n’y a que moi qui trouve ça drôle. Ma mère pense que j’aurais du naitre plus tard, que l’on puisse faire deux fêtes et non une. Moi j’aime bien l’idée d’être né le même jour que ma mère. Les premières années de ma vie, je les ai vécu à Philadelphie dans un quartier un peu pauvre. Pas que ma mère l’était mais disons qu’elle ne faisait pas partie de cette haute bourgeoisie qui pouvait se payer un appartement de 300 m² sans se priver sur les sorties du style, parcs d’attractions et autres que l’on pouvait faire dans le pays. Ma mère était quelqu’un de très aimant. Je crois que j’étais le bonheur de sa vie, la seule et unique personne pour qui elle aurait pu tuer pour me protéger. Je fus choyé, même si je n’allais pas tous les week-end à Disneyland ou que je ne participais que très rarement aux sorties extrascolaires, je ne me suis jamais plains. J’avais ma mère et c’était le plus important. J’ai appris à marcher à l’âge d’un an, sous la pulsion de récupérer mon ours en peluche, injustement condamné à la machine à laver. Je me souviens que je regardais la lessive tourner dans le hublot et jamais de la vie, je ne voulais voir mon Poutou, mon cher Poutou dans cette antre si maléfique. Alors, moi Seth, je me suis mis sur mes deux jambes et j’ai marché, marché, marché jusqu’à ce que je me retrouve les deux genoux au sol avec une irrésistible envie de pleurer et de sucer mon pouce – ça m’a toujours détendu de sucer mon pouce. Mais en voyant la tête joyeuse de ma mère, je n’ai pas bronché. Ben oui, ma mère était visiblement heureuse, je ne voulais pas lui faire de la peine en me mettant à pleurer de douleur. Parce que oui, tomber les deux genoux sur le parquet ça fait mal. Depuis ce jour, j’eu une marche prudente. Très prudente et tout était bon pour me retenir. Le mur, les tables, les jouets, les chaises. Tout. A deux ans, j’étais prêt à faire le marathon de New York en tricycle. Je me suis rendu-compte que le tricycle était nettement plus stable que mes deux jambes. A trois ans, je mangeais comme les grands. J’ai découvert les frittes. Rien de meilleur. Et c’est ainsi que j’ai continué ma vie jusqu’à l’âge de six ans où je suis entré pour la première fois à l’école de mon quartier…
C’est à ce moment que je me suis posé THE question. Et je crois que ce jour là j’aurais mieux fait de me taire. C’est la première fois que j’ai vu ma mère aussi en colère, surtout contre moi. J’avais l’impression qu’elle en voulait au monde entier et que rien ne pourrait la calmer. Je crois que j’ai eu peur ce jour là. Je n’ai pas tout compris non plus, je devais être trop jeune. J’ai juste retenu à la question « Où il est mon papa ? » que je ne devais jamais parler de lui et que l’homme qui m’avait engendrer n’était qu’un crétin fini. Je crois que si j’avais été plus vieux, ma mère aurait dit un autre qualificatif pour parler de lui. elle avait ce petit rictus, très étrange qui franchement faisait un peu flipper. Je me suis juré de ne plus jamais parlé de lui. A la question « Il est où ton père ? » je répondais « Il est mort ». Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi je disais ça, peut-être pour me faire à l’idée que je ne le verrais jamais ? En tout cas, ça coupait toute envie aux autres de s’étaler sur le sujet et c’était tout ce qui m’importait. La question du père n’est jamais revenue sur le tapis et ma mère n’a plus jamais eu de crises de colère. A l’école je n’étais pas mauvais. Je voulais faire des études pour gagner plein d’argent et faire pleins de cadeaux à ma mère. Parce qu’elle avait tout fait pour moi et moi rien. Je voulais lui rendre la pareille. Lui montrer que j’étais reconnaissant de ce qu’elle faisait pour moi, alors je travaillais. Plus que les autres. Ce qui est étrange c’est qu’avant j’aimais aller à l’école… Et puis il y a eu l’accident. Ce terrible accident. Je crois que je m’en remettrais jamais. Pourtant, beaucoup de gens sont venus me parler, me demander comment ça allait, me dire que tout irait bien mais moi je le savais que cela n’irait pas bien. J’avais dix ans à l’époque et c’est en rentrant de l’école que je l’ai appris. Deux personnes m’attendaient devant les grilles de l’école. Même si elles ne m’avaient pas parlé, je savais qu’elles venaient pour moi. Je le sentais. J’ai mis deux semaines à réaliser qu’elle n’était plus là. Deux semaines à rester à côté de son lit d’hôpital. Elle donnait l’impression de dormir. Elle était belle. Et puis, les médecins ont dit qu’il n’y avait plus rien à faire. Que jamais elle ne se réveillerait pas de son coma comme ils disaient. Que cela ne servait à rien de la garder. Je ne me souviens pas de ce qu’il s’est passé. Quand j’ai enfin réalisé que je ne reverrais jamais ma mère, j’étais dans une chambre bleue et rouge dans une immense maison. Chez un monsieur qui s’appelait Samuel Logan. Je n’ai pas tout de suite réalisé qui il était, en fait je crois que je ne voulais pas le savoir. Dix ans qu’il n’était pas là et là il débarquait, la bouche en cœur, comme si on ne s’était jamais quitté. Je l’ai hait. Je ne sais pas si je dois le dire ou le penser mais je l’ai détesté. Cet homme, pleins aux as, venu de nulle part et se comportant avec moi comme s’il me connaissait depuis toujours. L’ai-je hais pour ce qu’il était ? Pour ce qu’il avait fait ? Ou parce qu’il représentait ce que je n’avais plus ? Ou tout simplement parce que je devais déverser ma colère sur quelqu’un – à défaut de le faire contre le conducteur qui avait renversé ma mère – et qu’il était là ? Mon père était un grand homme d’affaire, plaçant beaucoup d’argent en bourse et possédant un nombre incalculable d’immeubles dans tous les Etats-Unis mais également en Europe. Les premiers mois, voire même les deux premières années, je n’ai pas du tout était proche de lui. Je me suis forgé un caractère qui ne me ressemblait pas du tout. Je crois que ma mère a du m’en vouloir de son petit nuage. Je voulais me protéger contre Samuel Logan. Je n’en avais pas peur mais je ne voulais pas accepter l’idée qu’il puisse être mon père. Qu’il puisse avoir quitté ma mère parce qu’elle n’était pas assez bien pour lui. Qu’il puisse avoir autant d’argent sans jamais en avoir fait profiter ma mère. Je ne lui ai jamais demandé comment il avait réussi à me retrouver. Je ne lui ai jamais demandé non plus pourquoi il m’avait pris chez lui. Pour lui, je n’étais rien et là, il m’acceptait chez lui sans rien demander en retour, juste de ne pas faire de bruit lorsqu’il jouait au poker avec ses amis. Ça je savais faire. Me taire. Sauf quand on disait des choses fausses sur ma mère. Un de ses « amis » avait fait une remarque cinglante, comme quoi elle n’était qu’une petite garce qui séduisait les hommes pour leur fric, au moment même où je traversais la pièce pour aller me chercher quelque chose à boire. Je sais que mon père a réagi, ça m’a fait plaisir même si c’était à retardement, j’en fus touché. Je crois que c’est à partir de ce jour-là où j’ai commencé à me rapprocher de lui. J’ai lancé une vieille remarque sur sa façon de jouer. Je dois dire que je ne m’en souviens plus, j’étais trop énervé mais ça lui a coupé le sifflet. Il n’est plus jamais revenu jouer au poker à la maison. Nous habitions le sud de Las Vegas à l’époque. Mon père possédait un casino au centre ville. J’aimais bien passer dans les allées, juste pour voir les joueurs et les machines. Le Black Jack j’adorais ça et j’étais l’espion de mon père. Je repérais tous ceux qui voulaient tricher. C’est là aussi que j’ai commencé à devenir arrogant. J’adorais me montrer dans le casino, j’adorais montrer aux autres que mon père avait du fric. L’argent ça monte à la tête et puis, mon père aussi était arrogant et m’as-tu-vu. Peut-être que je voulais être comme lui au fond ? C’est là aussi que j’ai commencé à détester l’école. Pourtant j’ai toujours bien travailler et j’aimais travailler mais pas à l’école. J’avais juste l’impression de perdre mon temps là-bas. Les professeurs ne nous apprenaient rien de ce que je ne savais déjà. Bref, je passais plus de temps au casino de mon père ou en compagnie d’une jolie fille qu’au collège.
A quatorze ans, mon père a déménagea. Laissant la gestion de son casino à son meilleur ami. En route pour New York. Il voulait ouvrir un restaurant là-bas. Me demandez pas pourquoi mais mon père a toujours eu plein de projets en tête. Et étrangement, tout ce qu’il entreprend, il le réussit. Nous sommes donc parti à New York. On habite près de Central Park. Beau quartier, bien bourgeois comme on les aime. Je me suis très vite adapté au quartier et aux jeunes qui y vivaient. Ils étaient juste comme moi. Bien sapé, bien arrogant, bien petit con. Tout moi quoi… Mon père m’a inscrit à Duchesne. The lycée of the world. Y’a quasiment que les riches qui vont là-bas, j’étais bien dans mon univers. Bon, cela ne m’empêche pas de m’y faire chier. J’ai rien à faire, je connais quasiment tout ce que les profs me disent mais bon, mon père m’oblige à y aller. Comme si j’allais suivre ses traces plus grand. Faut pas rêver quand même. J’aime bien la vie qu’il mène mais pour ma part, il en est hors de question que je fasse la même chose. Je me verrais bien… en fait, je ne sais pas ce que je veux faire plus tard et quand on a dix-sept ans cela peut être problématique… en fait, la seule chose dont je suis sûr c’est que je suis amoureux. Je la connais depuis que je suis à Duchesne mais je ne sais pas pourquoi, j’ose pas lui dire. Pourtant je suis loin d’être timide – en général je suis plutôt du genre extraverti – mais là, je ne sais pas, je bloque… on verra bien cette année.
Dernière édition par Seth S. Logan le Mer 2 Juin - 2:55, édité 1 fois |
| | | Addison Parker
Silver Blood wannabe
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Messages : 275 Date d'inscription : 15/03/2010 Age : 35 Âge du personnage : 15 ans Localisation : Le Block 122
| | | | Joy M. Slown
Moi & Juste moi
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Messages : 237 Date d'inscription : 29/04/2010 Age : 37 Âge du personnage : 17 ans
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Ven 28 Mai - 10:44 | |
| *essuie la bave* Bieeeeeeeeeeenvenue !!! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Ven 28 Mai - 21:21 | |
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| | | Benjamin J. Force Sang~Bleu
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Messages : 188 Date d'inscription : 30/04/2010 Age : 30 Âge du personnage : 16 ans Localisation : Dans Manhattan
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Dim 30 Mai - 1:38 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Lun 31 Mai - 5:39 | |
| Merki |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Mer 2 Juin - 2:55 | |
| SOrry du DP mais FINI |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Lun 7 Juin - 5:42 | |
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| | | Blue Bloods Admin
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| | | | Blue Bloods Admin
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| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Lun 7 Juin - 10:16 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* Mar 8 Juin - 0:18 | |
| Merci Désolé pour la vulgarité, j'ai pas fait trop attention >.< |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le Grand Seth *out* | |
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| | | | Le Grand Seth *out* | |
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